Malheureusement, quelqu’un vient à passer et lit vos commentaires plus que déplacés. Ce quelqu’un, avant de réagir, prend le temps de consulter votre profil, qui le choque d’amblé, vos autres interventions, sans nuance ni argumentation réelle. Vous prétendez lire passionnément les classiques (Zola, Austen…) mais êtes incapable de faire le rapprochement avec les modernes. Cela se voit dans vos écrits.
Avec ces informations, ce quelqu’un vous contact en privé. Pas la peine de soulever une polémique s’il n’y a pas lieu. Vous avez très pu ne pas réaliser que votre manière de vous exprimer était maladroite et peu correcte vis-à-vis d’êtres humains. Ce quelqu’un vous aborde de manière très diplomatique.
Vous êtes obligé de répondre poliment. Il vous en coûte. On le sent dans votre prose, dans vos objections. Vous vous enfoncez un peu plus loin dans vos mensonges. Vous ne pensez pas un seul instant qu’il pourrait s’agir d’un employeur potentiel, d’un éditeur ou, pourquoi pas, l’auteur lui-même caché sous un pseudonyme.
Vous vous vantez d’être au service marketing d’une maison d’édition et de tout savoir sur les ficelles. Alors pourquoi avez écrit ce que vous avez écrit ? N’êtes-vous pas au courant que ces entreprises entretiennent des liens plus ou moins étroit par le biais des réseaux de distributions, les contrats de leurs auteurs et bien d’autres ? Comment ce fait-il que vous ne maîtrisiez pas votre propre image ? Comment se fait-il quand offrant cette image de vous, vous ne sachiez pas que vous impliquez la réputation de l’entreprise qui vous emploi ?
Cette personne reste bien interrogative sur les raisons de votre emploi dans un service marketing en maison d’édition. Elle a de sérieux doutes sur la véracité de vos dires.
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