faire frémir les ovaires de la ménagère de moins de 50 ans

Depuis quelque temps déjà, on voit courir cette brillante phrase sur le net. En quoi n'est-elle ni plus ni moins qu'une pauvre insulte de plus à l'espèce humaine? Qu'est-ce qui fait qu'on ne devrait pas admettre ce genre de phrase? Et pourquoi est-elle concrêtement apparue? Je commence par la dernière question: Elle fait réaction au succès de certains ouvrages (littéraires?) à caractère pornographique qu'on a chercher à faire passer pour de l'érotisme. Il s'agissait de faire réagir les gens sur cette prose au vocabulaire cru. Sans doute un moment de ras-le-bol qui aurait pu tomber dans l'oubli.  Rien de plus. Mais ce n'est pas pour autant que je l'approuve. Elle aurait dû tomber dans l'oubli. Par la suite des esprits se pensant supérieurs aux autres, tant ils brillent par leur médiocrité, l'ont réutilisée pour rabaisser quiconque déciderait de sortir de la norme érigée par eux-même. Sans se rendre compte de ce qu'ils proféraient. Définissons quelques termes: Ménagère: femme qui nettoie des pièces d'habitation contre rémunération, soit une femme de ménage. Rien de plus. Je ne vois pas en quoi c'est un travail méprisable. Moins de 50 ans: quelqu'un encore sur le marché du travail et concidéré comme jeune. Rien de plus! Je ne vois toujours pas où c'est méprisable. Frémir: être agité par un frissonnement, trembler. Rien de plus! Ovaire: Glande génitale femelle, paire, symétrique, située de part et d'autre de l'utérus, produisant les gamètes femelles. Tiens! C'est quelque chose de fixe dans le corps et qui ne peut donc par frémir. Rien de plus! Comme vous le constater, il y a de nombreux points qui donnent à s'interroger. On sous-entend qu'une femme de ménage, et plus particulièrement jeune, est incapable de réflexion et ne peut pas avoir d'excitation sexuelle autrement que par un certain type de lectures et y est particulièrement sensible. Mieux encore, à partir du moment où, en ayant moins de 50 ans, vous gagnez votre vie en faisant des ménages, vous seriez sutpides et arriérées. On constate aussi un caractère sexuel dans l'insulte propre aux personnes incapable d'argumenter concrêtement et de formuler des critiques constructives. Vive le respect du genre humain! A moins que cette personne avoue tout simplement n'avoir jamais touché un balai de sa vie et être particulièrement sensible sexuellement. La critique qui m'a fait réagir a de toute manière l'honnêteté de prévenir dès le départ qu'elle méprise l'espèce humaine en disant elle-même que sa critique est un "piège-à-cons": encore une démonstration de son niveau de langue fort élevé et de sa capacité de réflexion particulièrement élaborée. Cette personne, peu aidée dans la vie, à saisi au vol ces abus de langage sans connaître leurs définitions réelles. Elle n'en a pas saisi toute la portée. Elle s'est ensuite créée une vie factice à laquelle elle croit dur comme fer. Contrairement aux femmes de ménages sur lesquelles elle crache volontiers, elle n'a pour rêves que ceux que sa "secte" lui a injectés et qu'elle suit aveuglément en étant persuadée d'être indépendante et autonome, et critique. Elle lit le début des succès uniquement dans le but d'insulter leurs lecteurs et dénoncer un honteux marketing de masse-média qu'elle suit aveuglément puisqu'elle ne sort pas la définition de ce fameux masse-média dans le but de connaître une gloire facile, rapide et imméritée.  Son cerveau a été certainement remplacé par du caramel mou faisandé. (là j'en rajoute mais c'est parce que le fait que cette personne puisse dire tout ce qu'elle veut sans qu'on puisse la reprendre me révolte). La cerise sur le gâteau, c'est que si elle découvre mes articles, elle ne pourra pas venir pleurnicher à la diffamation vu qu'elle pratique cela à grande échelle et que j'ai des copies d'écran pour prouver son imposture. Et surtout ce sont des adultes responsables de leurs actes qui ont écrit ça publiquement. Ils connaissent parfaitement la portée de leurs mots et de leurs insultes. D'autant plus qu'un contrat de travail ne préserve pas du tout. Les employeurs n'aiment pas ce genre de prose de la part de leurs employés. Cela porte, indirectement, à l'image de leur entreprise. Ce genre de personne ne se met donc pas en danger seulement personnellement mais aussi professionnellement.  Sur ces paroles, ne laissez jamais quelqu'un tenir des propos que vous estimez insultant. Et surtout, ne les répétez pas à mauvais escient comme certains le font. Vous vous ridiculiseriez et, après une gloire facile, vous tomberiez dans l'oubli et le mépris. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Le risque n'est pas de s'exposer avec des insultes à autrui, mais de prendre le temps de construire quelque chose de durable. Ce qui me fait mal au coeur par contre, c'est que des personnes dont je reconnais le niveau intellectuel puissent l'utiliser. Allez! Vous valez mieux que ça! Laissez aux médiocres l'appanage des insultes à caractère sexuel. C'est le seul moyen qu'ils ont pour avoir la vague impression de briller en société. Quand à la bande de "piège-à-cons qui fait frémir les ovaires de la ménagère de moins de 50 ans", sachez que je préfère être une conne de femme de ménage de moins de 50 ans qui lit du Musso, Gavalda, Levy... (où il n'y a pas la moindre allusion à des pratiques douteuses- ben non une nana qui se balade le matin en débardeur petite culotte à dentelle et qui à l'air sexy n'a rien d'émoustillant ou pornographique, il faut se calmer et arrêter de voir des allusions sexuelles partout!) et qui doit son travail à ses compétences, qu'une pauvre godiche qui répète stupidement des mots et expressions dont elle ne saisit pas le sens, tout en tenant un discours totalement incohérant, et qui ne doit son poste et ses diplômes qu'à sa jolie présentation et à son sourire mièvre et hypocryte (même si je reconnais que porter une tasse de café dans une salle de réunion marketing sans verser la moindre goutte et en volant des mots qui ont l'air de rendre intelligent est particulièrment ardu) . Question de principe, je trouve cela plus digne et moins avilissant. En même temps, vu le peu d'à-propos avec lequel cette gracieuse personne utilise cette expression qui cible les productions à fort caractère sexuel, j'ai peur qu'elle ne voit du porno dans les innocents livres pour enfants (vous savez ceux où il y a simplement un mot et une image). Sa sexualité doit être particulièrement déviente... Même un poisson rouge doit avoir un niveau de réflexion plus élaboré. Nota bene du 23/09/2015: j'avoue que ce truc m'est particulièrement resté en travers de la gorge. Mais je vois les choses avec humour  aujourd'hui en repensant au commentaire de l'un des ses apôtres. Oui il faut franchement osé pour avouer son hyper sensibilité sexuelle et n'avoir jamais fait le ménage de toute sa vie. Parce qu'entre nous, trouver une exitation sexuelle dans les romans de Guillaume Musso après une journée de ménages, il faut le faire. Donc jolie frimousse (je vous appelle ainsi parce que vous n'êtes que ça) vous avez raison, il faut arrêter de prendre les gens pour des idiots, ceux qui lisent ces romans savent très bien à quoi s'attendre contrairement à vous qui faudrait féliciter dès que vous réussissez à déchiffrer 3 pauvres lettres. Et une nana qui se balade en petite culotte a dentelles et qui se trouve sexie ça n'a rien d'exitant, c'est juste la réalité actuelle. Et je ne fais qu'appliquer la méthode que la grande éditrice que vous prétendez être à fourni dans sa critique. Mais bon, nous savons aussi que cela est un mensonge, vu que vous vous permettez de noter pigeons en tag pour l'auteur: preuve qui vous ne maîtrisez pas du tout le vocabulaire ou la commmunication (le monde de l'édition est bien plus petit que ce que vous pensez, même s'il est très étendu), tout simplement. Sur ce je vais me préoccuper dautre chose que vos manières de petite intrigante frustrée par la vie.

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